Affaire Penelope Fillon : Valérie Trierweiler réagit sévèrement sur Twitter
Alors que la polémique bat son plein après les révélations du Canard Enchaîné sur l’emploi présumé de Penelope Fillon, Valérie Trierweiler a tenu à réagir sur Twitter. Interpellée par un internaute qui comparait la situation de l’épouse de François Fillon avec la sienne quand elle avait rejoint l'Élysée comme compagne de François Hollande, elle a rappelé le "lynchage" dont elle dit avoir été victime à l'époque.
Valérie Trierweiler est toujours là. L’ancienne compagne de François Hollande a répondu sur Twitter au commentaire d’un internaute qui établissait un parallèle entre le présumé emploi fictif de Penelope Fillon et son arrivée à l’Élysée comme compagne de François Hollande.
"Je repense au pataquès qu'avait provoqué la venue de Trierweiler à l'Elysée pour #lesrepublicains. On se marre bien plus avec #PenelopeGate!", a écrit le twittos. Une petite phrase qui n’a visiblement pas plu à l’ancienne "première dame", qui lui a rétorqué aussitôt : "Je pense surtout au lynchage général pour m’être battue afin de conserver mon job, exercé alors depuis 24 ans, pour 4 100 euros nets."
Les fonctionnaires ne sont pas des privilégiés
Valérie Trierweiler faisait référence à l’époque où, journaliste à Paris-Match, elle avait quitté la rubrique politique du magazine pour ne plus écrire que dans les pages culture. Une adaptation qui avait parfois été jugée insuffisante, certains estimant qu’elle aurait dû quitter son emploi.
La petite phrase de Valérie Trierweiler a fait réagir une autre internaute : "Allo ?! Ici la Terre ! Le salaire d’un fonctionnaire de catégorie B avec 20 ans d’ancienneté = 1700 € nets." Imperturbable, Valérie Trierweiler lui répond : "Je ne fais pas partie de ceux qui pensent que les fonctionnaires sont des privilégiés."

